1. Investissez dans l’achat d’un cadenas en U de qualité

Des tests ont démontré qu’il ne fallait qu’une dizaine de secondes pour venir à bout d’un cadenas pourtant payé plus d’une quarantaine de dollars!  Marteau, coupe-boulon, scie à métaux, voilà les outils utilisés par les voleurs qui ne font qu’une bouchée des cadenas peu dispendieux. Pour rendre la tâche plus ardue, n’hésitez pas à protéger votre vélo avec deux systèmes de verrouillage, un cadenas en U et une chaîne en acier trempé par exemple.

2. Verrouillez le cadre et la roue avant

Verrouillez-les à un point d’attache solide et bien ancré au sol, idéalement un support à vélo. Si vous pouvez enlever la roue avant facilement, faites-le et cadenassez-la au reste de la bicyclette. Enlevez votre selle et traînez-la avec vous.

3. Rentrez votre vélo à l’intérieur

Apportez votre bicyclette à l’intérieur aussi souvent que vous le pouvez ou choisissez un stationnement bien éclairé à proximité d’autres vélos. Ce n’est pas infaillible, mais cela pourra décourager un voleur peu expérimenté. 

4. Personnalisez votre bicyclette

Les voleurs n’aiment pas dérober les vélos dont la marque a été cachée par des autocollants, du ruban adhésif ou même de la peinture, car ils sont beaucoup plus difficiles à revendre.  

5. Enregistrez votre vélo

Participez au Projet Numéro en collaboration avec la police (à Montréal) ou renseignez-vous auprès de votre service de police pour connaître leur programme d’enregistrement. Bien souvent, votre vélo sera buriné et les numéros de série pris en note. Certains organismes regroupant des amateurs vont aussi vous offrir un service similaire.

6. Prenez une photo de votre bicyclette

Encore mieux, demandez à ce quelqu’un prenne une photo de vous sur votre vélo pour constituer une preuve de propriété.  Conservez ces documents dans un dossier en n’oubliant pas de prendre en note le numéro de série de votre vélo, car c’est grâce à ce numéro que vous pourrez l’identifier si, malgré toutes vos précautions, vous vous faites voler.